Depuis les années 2000, le dialogue social en entreprise a été renforcé à l’initiative des partenaires sociaux : réforme du code du travail, loi REBSAMEN, ordonnance travail de 2017. Ainsi les acteurs du dialogue social contribuent ils à en réinventer les modalités.
Mais dans le contexte socio-économique changeant, les élus représentants du personnel se trouvent parfois confrontés à de grandes difficultés exprimées souvent par une perception de conflit de valeurs.
Résultat des courses, certains d’entre eux présentent des signes de souffrance, sont en colère ou dans la défiance permanente. D’autres se démotivent, épuisés par les conflits au sein de l’instance, entre élus et ou par la relation avec les représentants de la direction.
Le tableau est désolant d’autant que la désinsertion syndicale est grandissante.
Des peurs, confusions, manque de temps pour accomplir leurs missions, qu’ils soient impliqués ou adeptes de la chaise vide, les élus perdent peu à peu confiance en eux, en leur légitimité et se sentent quelques fois démunis.
Et pire encore : en entreprise, tout le monde se doute des difficultés à faire vivre une instance unifiée, mais nul ne s’appesantit jamais sur le sujet.
Il peut être entendable, dans certains contextes, pour les représentants de la direction, notamment le présidents, d’accorder peu d’importance à cette instance par peur d’être accusés d’ingérence ou de délit d’entrave.
Mais dans le contexte socio-économique actuel et toutes les conséquences en lien avec les difficultés de recrutement, les turn-over, les plaintes pour harcèlement, l’absentéisme croissant etc… n’est-il pas venu le temps de poser un regard différend en dépassant la cadre règlementaire pour les accompagner à la montée en compétences ?
Il existe des solutions pour clarifier le rôle d’élu et développer les capacités d’actions du cse afin qu’il devienne un outil ressource permettant de créer une paix sociale bénéfique pour tous ?
Il est parfaitement possible de créer les conditions d’un climat de confiance. Et même, de travailler ensemble même après que l’ambiance s’est fortement détériorée.
Reprendre foi et s’engager grâce à un dispositif d’appui inédit
Ferièl Poizat s’est ainsi attaché à développer un accompagnement pour réenchanter les relations sociales. Il s’agit de trois séminaires innovants pour accompagner les transformations en travaillant sur soi, sa posture, ses pratiques d’élu et pour faire progresser le groupe.
- Séminaire La Chenille: Accueillir et engager
en début de mandature pour développer la posture d’élu.
- Séminaire La Chrysalide : Libérer et s’aligner
En milieu de mandat pour améliorer les pratiques
- Séminaire Le Papillon : Célébrer et rouvrir
à la fin du mandat, pour préparer la suite.
Ces séminaires forment un soutien inédit aux élus. Ils aident à clarifier leur rôle, à l’incarner et in-fine ils permettent de retrouver le sens de la mandature. L’engagement reprend son sens.